Les handicaps | Le pays d’Igor

Comme dans un conte, deux explorateurs : Yokas et Estellone tombent en panne dans le désert et découvrent un enfant seul. Il ne parle pas – c’est un enfant qui « marche la tête à l’envers ».
Progressivement à travers les joies, les souffrances, l’accueil et le refus de celui qui est différent, avec la force qui donne sa fragilité, on voit une relation d’amour se construire entre les trois personnages …

Nos scènes préférées et les attitudes des personnages envers l’enfant handicapé

 C’était bien, car c’était un peu « bricole-tout » ! (des choses qu’on n’a plus utilisées depuis longtemps, qu’on rassemble pour faire du beau !) (Chloé O)

Moi, j’ai bien aimé car je ne connaissais pas ce handicap. (Fay)

J’ai aimé le moment où le docteur emmène Igor et où les quatre grosses têtes apparaissent. (Thibaud)

C’était très émouvant. Par moments, on rigole aussi. L’homme et la femme sont de très bons comédiens. (Florine)

J’ai bien aimé la drôle de machine (Chloé P)

Drôle de machine

Un avion pas ordinaire, avec un téléphone, une canne à pêche, un escamobile qui se transforme en pousse-trotte, ça existe !, mais où ?
Au « Pays d’Igor »
Une machine qui peut se transformer en bivouac, couleur connue sous le nom de blanc.
Un bateau pouvant franchir mers et océans sans limite, toujours blanc comme le mystère de la suite…
Et qui mystérieusement se transforme en une immense tente d’où surgissent des médecins et pleins d’autres mystères…
Mais il peut devenir une cage capturant Igor et Estellone, cage noire et cruelle…

Marie